Face à la
multiplication des savoirs dans ce contexte de la mondialisation,
comment maintenir l'équilibre entre l'éducation du corps et celle de
l'esprit que l'humaniste Montaigne préconisait en son temp? Si les reconversions professionneles deviennent monaie courrante, ne vaut-il pas mieu
éduquer à la réflexion et aiguiser les capacités d'adaptation plutôt
que de transmettre des savoirs qui seront caducs dans vingt ans?
Internet: <http://www.diplomatie.gouv.fr> (avec adaptation).
Dans le texte, la forme verbale
"préconisait" veut dire
recommandait.